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Lettre aux présidents de clubs, de comités, de ligues   

18/09/2020

Chères Présidentes, Chers Présidents,

Chères amies, Chers amis,

Une campagne de dénigrement orchestrée depuis plus de 18 mois continue !

Vous êtes inondés de mails depuis un certain temps.

La position de la FFE a toujours été d'agir en responsabilité en respectant les statuts et les directives gouvernementales.

Vous n'êtes pas sans savoir comment ont été instrumentalisés de nombreux pouvoirs de l'AG ordinaire du 26 mars 2016 où un président élu démocratiquement, Diego Salazar, a subi un coup d'État.

Vous avez pu constater que notre équipe a toujours souhaité prendre de la hauteur, afin de ne pas vicier les efforts des bénévoles qui n'ont que faire de débats stériles qui ne renforcent pas la FFE.

Aujourd'hui, Éloi Relange et sa liste mentent quand ils écrivent et laissent entrevoir une perte de l'agrément sport ou une mise sous tutelle de la FFE. C'est une technique classique afin de faire peur.

Je ne pensais pas qu'en politique on pouvait dire tout et n'importe quoi, et que tous les coups étaient permis, y compris les coups de « bluff » !

Agiter le chiffon rouge est scandaleux et irresponsable.

Les mêmes qui tirent les ficelles et qui ont géré la FFE en se partageant l'argent de manière amorale voudraient se poser aujourd'hui en donneurs de leçons.

Les 200000 € de BNP Paribas de l'époque ont été utilisés principalement pour payer un président, un directeur général, et un loyer pour la Commanderie des Templiers qui est dans la commune d'Élancourt et qui revenait à la communauté d'agglomération de Saint-Quentin en Yvelines. Un des membres de la direction de la FFE était conseiller municipal à Élancourt !

Et pendant de nombreuses années, un vice-président de la FFE a facturé à travers une société plus de 100000 € par an à la FFE pour produire une revue ! À l'époque, la notion de conflit d'intérêts ne devait pas exister !

Jadis, voilà comment était utilisé une partie de l'argent.

Certains soutiens de ces pratiques qui, malheureusement auraient dû être dénoncées lors du mandat précédent, se trouvent être aujourd'hui sur une liste qui n'a « d'ouverture » qu'un marketing agressif.

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